Mea culpa et malédiction

Je reviens sur ce que je disais hier : les gens ne sont pas gentils (enfin si un peu quand même) : ils sont stupides. Un exemple dans ma vie underground (comprenez : dans le métro)

Je m'apprête à passer le portillon, mais ma carte imagin'r fait des siennes et ne veut pas lancer ses puissances ondes à travers mon portefeuille afin d'ouvrir le passage. Le temps que je dégage la dite carte de la chape de cuire qui l'empêcher d'oeuvrer, un abruti passe sa propre carte.

Je suis donc contraint d'avancer. Seulement voila. Parce que moi aussi je suis dans ma période de gentillesse, je retiens la porte et passe ma carte pour que lui puisse franchir le tourniquet. Seulement (là c'est de ma faute) je n'ai pas retenu la porte suffisamment écartée et me voila coincé comme une sardine. Malgré ma sveltitude (et un barbarisme, et de un), j'essaye de forcer en vain.

Là, une dame un peu con con (faut bien le dire) refuse de passer son ticket pour me libérer alors que je lui promettais de lui tenir la porte comme le galant homme que je suis. Elle refuse. Tout ça parce qu'elle croit qu'elle va rester bloquer. J'ai déja passer le tourniquet conasse t'as rien a craindre !!!!! En plus, cette grosse truie, (flot de haine inextinguible contre elle, comme dirait la preuse) me prend pour un con (fallait pas passer votre carte sur la borne d'à côté - merci je sais, mais je voulais laisser passer l'autre abruti connasse) et me sort une excuse bidon "si j'avais eu une carte, ça ne m'aurait pas dérangé, mais un ticket, vous comprenez." Non, je ne comprend pas grognasse !!!! Ticket ou carte c'est la même chose !!!! Une fois utilisée dans une station, la carte ne fonctionne plus !!!!

Bref, passablement énervé contre la bêtise humaine et féminine (un peu de misogynie, ça soulage les nerfs, désolé), je monte dans le métro qui reste bloqué 5 minutes. C'est mon jour me dis-je.

Mais ce n'est pas terminé. Non, non, le sort s'acharne sur moi que je vous dis ! Au moment de sortir, devant les portes automatiques, je claque des doigts comme toujours et elles s'ouvrent. Mais, parce qu'il y a forcément un mais. Ces connasses de portes, par un caprice du destin et la mauvaise maintenance, se referme sur mon nez comme un con.

Si on ajoute à ça, ma dégringolade dans les escaliers dimanche soir de Champs-Elysées Clémenceau (ok, c'est de ma faute je parlais à Corto, je regardais pas devant moi), je crois que cette semaine je vais évîter tout transport en commun, pour le plus grand plaisir de tous les taxidermistes.

Ps : y a un peu trop de "passer", "portes", "connasse" à mon goût dans ce post, mais que voulez vous, la situation l'exige.